9 août 2014

Fantasia 2014: le bilan

Fantasia 2014: le bilan

Killers et Ugly, prix AQCC ex-aequo
décerné par Apolline Caron-Ottavi,
Martin Gignac et Jean-Marie Lanlo
Comme tous les ans à la même époque, le temps est venu de faire le bilan du festival le plus imprévisible de Montréal. Pour sa 18e année, Fantasia semblait refuser d'accepter l'âge de la majorité en nous offrant un nombre très important de films consacrés à l'adolescence. Le plus réussi fut probablement Han Gong-ju, de Lee Su-jin (lire la critique d'Olivier Bouchard), qui avait opté pour une approche très réaliste.

8 août 2014

Calvary ***½

Calvary ***½

Menacé de mort par un homme qui veut se venger de l’Église, un prêtre (Brendan Gleeson) tente de comprendre le monde qui l’entoure.

Réalisateur : John Michael McDonagh | Dans les salles du Québec le 8 août 2014 (Les Films Séville)
Into the Storm (Dans la tempête) *½

Into the Storm (Dans la tempête) *½

Vu dans le cadre du festival Fantasia 2014

Une multitude de tornades dévaste la petite ville de Silverton. Certains se réfugient où il ne faut pas pendant que d’autres cherchent à enregistrer les images les plus spectaculaires du phénomène.

Réalisateur: Steven Quale | Dans les salles du Québec le 8 août 2014 (Warner)
Teenage Mutants Ninja Turtles (Les Tortues Ninjas 3D) *

Teenage Mutants Ninja Turtles (Les Tortues Ninjas 3D) *

Un groupe criminel sanguinaire fait régner sa loi sur la ville de New York. Alors, que tous croient la ville perdue, une famille composée de tortues mutantes et d'un rat s'impose comme des justiciers anonymes. Aidés d'une journaliste ambitieuse (Megan Fox), ils tenteront de mettre fin à la menace qui pèse sur la population new-yorkaise.

Réalisation : Jonathan Liebesman Dans les salles du Québec le 8 août 2014 (Paramount)

6 août 2014

Fantasia 2014: Killers ***½

Fantasia 2014: Killers ***½

Réalisateurs: The Mo Brothers

Killers commence de manière assez brutale avec une scène de torture. Pourtant, s’il propose ce genre de scène de manière récurrente, il n'en abusera jamais, celles-ci restant toujours au service du récit et n'ayant pas pour but de jouer la surenchère avec une complaisance morbide.