(réalisé par Paul Middleditch ; DVD disponibles au Québec chez Alliance Vivafilm le 20 août 2013)
Alors que les bonnes âmes ont été rappelées au Paradis, les autres doivent survivre dans un monde apocalyptique sur lequel règne un Antéchrist libidineux (Craig Robinson). Deux jeunes adultes (Anna Kendrick et John Francis Daley) décident de le combattre.
La prémisse de Rapture-Palooza nous laissait espérer un film n’ayant peur ni des excès ni d’un certain mauvais goût et nous étions prêts à accepter (et apprécier) toutes les fantaisies possibles, mêmes un peu douteuses. Après visionnement, nous constatons qu’il s’agit en réalité d’un petit film insipide pour lequel le réalisateur semble avoir répondu absent au moment du tournage. Cela se ressent surtout dans la direction d’acteurs. Ceux-ci donnent en effet tous l’impression de ne pas savoir quoi faire de leur corps et pour compenser, certains sur-jouent (Rob Corddry, Craig Robinson) pendant que d’autres sous-jouent en attendant visiblement que ça se passe (Anna Kendrick, John Francis Daley). Cela est d’autant plus désagréable que le scénario de Chris Matheson, une fois passées les deux ou trois bonnes idées de départ, tourne vite en rond. Quelques répliques jouant la carte de la vulgarité assumée et énoncées avec délectation par Craig Robinson sont amusantes un temps, mais finissent elles aussi par lasser.
La prémisse de Rapture-Palooza nous laissait espérer un film n’ayant peur ni des excès ni d’un certain mauvais goût et nous étions prêts à accepter (et apprécier) toutes les fantaisies possibles, mêmes un peu douteuses. Après visionnement, nous constatons qu’il s’agit en réalité d’un petit film insipide pour lequel le réalisateur semble avoir répondu absent au moment du tournage. Cela se ressent surtout dans la direction d’acteurs. Ceux-ci donnent en effet tous l’impression de ne pas savoir quoi faire de leur corps et pour compenser, certains sur-jouent (Rob Corddry, Craig Robinson) pendant que d’autres sous-jouent en attendant visiblement que ça se passe (Anna Kendrick, John Francis Daley). Cela est d’autant plus désagréable que le scénario de Chris Matheson, une fois passées les deux ou trois bonnes idées de départ, tourne vite en rond. Quelques répliques jouant la carte de la vulgarité assumée et énoncées avec délectation par Craig Robinson sont amusantes un temps, mais finissent elles aussi par lasser.
Nous devons cependant admettre que le film propose également deux où trois gags plaisants... mais comme nous n’avons pas grand chose d’autre à nous mettre sous la dent, cela fait tout de même bien peu!
