24 octobre 2014

L’homme qu’on aimait trop ***

L’homme qu’on aimait trop ***

Dans les années 70 à Nice, Maurice Agnelet (Guillaume Canet), un jeune avocat aux dents longues, exploite la naïveté d’Agnès Le Roux (Adèle Haenel), follement amoureuse de lui, pour faire perdre à la mère de la jeune femme (Catherine Deneuve) la tête du casino qu’elle dirigeait. Lorsqu’Agnès se fait trop insistante auprès de son amant, elle disparaît.

Réalisateur: André Téchiné | Dans les salles du Québec le 24 octobre 2014 (AZ Films)
Ouija *½

Ouija *½

Après le prétendu suicide de sa meilleure amie, Laine trouve chez celle-ci une planche de Ouija. Utilisant alors l’objet pour communiquer avec la défunte, Laine prend plutôt contact avec un fantôme aux intentions néfastes.

Réalisé par Still Whites | Dans les salles du Québec le 24 octobre 2014 (Universal Pictures)

20 octobre 2014

FNC 2014: Le bilan

FNC 2014: Le bilan

Test, d'Alexander Kott
La 43e édition du FNC aura commencé de manière bien étrange en raison principalement de la dispersion inhabituelle des salles. Les distances saugrenues ont eu un impact sur nos programmes, nous ont incité à faire certaine impasses et, il faut bien l'avouer, à limiter la ferveur et la petite impression de participer à un marathon cinéphile (surtout si on ajoute le fait que certaines projections ont été annulées au dernier moment!).

19 octobre 2014

FNC 2014: Pasolini ***½

FNC 2014: Pasolini ***½

Réalisateur : Abel Ferrara

Annoncé comme l’une des surprises concoctées par les organisateurs du FNC en cette fin des festivités, ce Pasolini signé Abel Ferrara s’offre aussi à nous comme un beau cadeau de consolation avec le cinéaste new-yorkais qui, cinq mois plus tôt, nous avait livré l’irregardable Welcome to New York, très certainement l’un des pires films de 2014.

18 octobre 2014

FNC 2014: Near Death Experience (NDE) ***½

FNC 2014: Near Death Experience (NDE) ***½

Réalisateurs: Benoît Delépine et Gustave Kervern

Benoît Delépine et Gustave Kervern sont de retour avec Near Death Experience. Comme à leur habitude, ils en profitent pour porter à nouveau un regard sur notre société trop cruelle et avilissante, mais ils prennent un petit risque en décidant de ne centrer leur film que sur un personnage (ou presque… s’il ne filment que des parties du corps des collègues ou de la famille du héros, deux personnages se verront accorder un peu plus de place, aussi bien sur l’écran que dans l’évolution du récit).